Last Sunday at noon SLT held a very moving and solemn performance imaginated and created by the Theatre Of The Hill (TOTH). This show wich was entitled "In Memoriam" and was designed by Oliver, Othon, Gary and some other members of TOTH (sorry for those I not mentioned) was intended to honor, among others, the memory of Fabrice Snook, founder of Gay Archipelago, who passed away in 2011, Avacar Bluestar died few days ago but also friends we all have lost, still sorely lacking today but will always have a place in our hearts and we will never forget ...
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| The twinies Josh' and Ron' and me playing violins |
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| A poppy rain as so many tears we have shed... |
It was amazing and to continue to honor them I can not resist the urge to publish here a poem written by a friend. It is in French and I hope that the English translation will not change the meaning and significance of these few verses. Thanks so much Djedje for this so nice poem...
« TROUBLANT VIRTUEL »
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Sur l'écran froid de l'ordinateur,
Vint à naître l'humaine chaleur,
Depuis que se croisèrent nos regards,
Ou plutôt devrais-je dire nos avatars,
Fidèles marionnettes de pixels,
Evoluant à l'intérieur de mondes virtuels,
Mais dissimulant des âmes bien réelles,
Que rapprocha la magie d'Internet,
Réduisant de la distance le casse-tête .
Emerveillés nous étions à la vue des richesses,
Que les internautes inventaient de toutes pièces,
Et combien de fois nous sommes nous amusés,
A jouer les apprentis sorciers,
Revêtant d'extraordinaires apparences,
Issues de bestiaires frolant la démence .
Mais mon coeur ne se laissait point tromper,
Sachant que derrière ces débauches d'avatars,
Toutes ces myriades de facettes illusoires,
Il n'y avait qu'une seule et même personne,
Que rien encore d'ailleurs ne détrone,
Que ce soit en virtuel ou en vrai .
Car nous sortions de nos inventaires,
Objets et autres gadgets qui témoignèrent,
Comme autant de virtuelles allégories,
De nos sentiments qui dans la vraie vie,
Etaient bel et bien sincères .
Par chance l'ont réussi à aller au delà,
De ces mondes colorés ou le Rêve est Roi,
Pour se rencontrer réellement, avec joie,
Dans cette réalité de matière,
Dans laquelle les Sens enfin se manifèstèrent,
Pas comme en virtuel, bien au contraire .
Mais la Fin étant commune à toutes choses,
Cette Fin dont ne peut rien ce monde morose,
Pas plus hélas que les mondes virtuels,
Ou tout semble possible pourtant,
Il a fallu que te frappe un sort cruel,
Te déconnectant des deux mondes éternellement .
L'on envoya condoléances à ta réelle famille,
Et dans les univers où tu aimais te promener,
Un virtuel mémorial te fut dressé,
A son pied des fleurs inodorantes,
Mais aux couleurs resplendissantes,
Qui pour toi désormais à jamais brillent .
Mes larmes étaient tout sauf de pixels,
Et toi tu revêtais ton ultime avatar,
Qui depuis demeure en ma mémoire,
Celui d'un ange que n'effacera aucun logiciel .
Author : Djedje Freshi.
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Sur l'écran froid de l'ordinateur,
Vint à naître l'humaine chaleur,
Depuis que se croisèrent nos regards,
Ou plutôt devrais-je dire nos avatars,
Fidèles marionnettes de pixels,
Evoluant à l'intérieur de mondes virtuels,
Mais dissimulant des âmes bien réelles,
Que rapprocha la magie d'Internet,
Réduisant de la distance le casse-tête .
Emerveillés nous étions à la vue des richesses,
Que les internautes inventaient de toutes pièces,
Et combien de fois nous sommes nous amusés,
A jouer les apprentis sorciers,
Revêtant d'extraordinaires apparences,
Issues de bestiaires frolant la démence .
Mais mon coeur ne se laissait point tromper,
Sachant que derrière ces débauches d'avatars,
Toutes ces myriades de facettes illusoires,
Il n'y avait qu'une seule et même personne,
Que rien encore d'ailleurs ne détrone,
Que ce soit en virtuel ou en vrai .
Car nous sortions de nos inventaires,
Objets et autres gadgets qui témoignèrent,
Comme autant de virtuelles allégories,
De nos sentiments qui dans la vraie vie,
Etaient bel et bien sincères .
Par chance l'ont réussi à aller au delà,
De ces mondes colorés ou le Rêve est Roi,
Pour se rencontrer réellement, avec joie,
Dans cette réalité de matière,
Dans laquelle les Sens enfin se manifèstèrent,
Pas comme en virtuel, bien au contraire .
Mais la Fin étant commune à toutes choses,
Cette Fin dont ne peut rien ce monde morose,
Pas plus hélas que les mondes virtuels,
Ou tout semble possible pourtant,
Il a fallu que te frappe un sort cruel,
Te déconnectant des deux mondes éternellement .
L'on envoya condoléances à ta réelle famille,
Et dans les univers où tu aimais te promener,
Un virtuel mémorial te fut dressé,
A son pied des fleurs inodorantes,
Mais aux couleurs resplendissantes,
Qui pour toi désormais à jamais brillent .
Mes larmes étaient tout sauf de pixels,
Et toi tu revêtais ton ultime avatar,
Qui depuis demeure en ma mémoire,
Celui d'un ange que n'effacera aucun logiciel .
Author : Djedje Freshi.
"VIRTUAL DISTURBANCE"
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On the cold computer screen,
Came unborn human warmth,
Since our eyes crossed,
Or should I say our avatars,
Faithful pixels puppets,
Evolving within virtual worlds
But concealing the very real souls
That approached the magic of the Internet,
Reducing the distance the puzzle.
Amazed we were in sight of wealth,
That people invented from nothing,
And how many times we had fun ,
To play the sorcerer's apprentice,
Extraordinary appearances coating,
From bestiaries bordering on insanity.
But my heart did not allow himself to deceive,
Knowing that behind these avatars debauchery
All these myriad facets illusory,
There was only one person,
Nothing yet elsewhere dethroned
Whether virtual or real.
Because we went out of our inventories,
Objects and other gadgets that testified,
As many virtual allegories,
Our feelings in real life,
Were indeed sincere.
Luckily have managed to go beyond,
These colorful worlds or Dream is King
To actually meet with joy
In this reality of matter,
In which the Sens finally manifested,
Not as in virtual, on the contrary.
But the end is common to all things,
This end which can do nothing this gloomy world,
No more alas that virtual worlds,
Or anything seems possible, however,
It took a cruel fate strikes you,
disconnecting of both worlds forever.
We sent condolences to your real family,
And in the world where you loved a walk,
A virtual memorial was erected to you,
At its foot some inodorantes flowers,
But the resplendent colors,
That for you now forever shine.
My tears were anything but not only pixels,
And you, you wearing your last avatar,
Since that remains in my memory,
The one of an angel that will be never
deleted by any software...
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| Oliver and Hetwhen singing duet... |
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| All the team, choir and singers and don't forget to mention Gary at the technic staff... |
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